Petit guide pour une réorientation à l'étranger

Tu es étudiant et tu as pris l’option qui te paraissait la plus naturelle : poursuivre tes études en France. Jamais tes espoirs ou même tes envies ne t’avaient suggéré de passer la frontière. Maintenant qu’il te semble avoir fait le tour de ce que la France peut t’offrir dans ton domaine ton regard se tourne vers l’ailleurs. Mais une réorientation, surtout à l’étranger, ça se prépare !

« Pour la nouvelle génération. Par la nouvelle génération ! »


« Maintes fois de la Peur, je sens passer le vent » *

Baudelaire n’est peut-être pas ton auteur favoris, mais en matière de peur, frissons et angoisse, il en a tant écrit que ses mots parviennent sans doute à décrire ton ressenti à merveille. A la veille de ce grand départ – en projet – tu paniques légèrement et te perds en « et si… ? », « mais où… ? ». L’avantage avec les peurs (si, si, il y en a un !), c’est qu’elles sont souvent partagées par la plupart d’entre nous. Même si la tendance est de proclamer que chacun est unique en tout, étonnamment, pour ce qui est des angoisses, ce n’est pas tellement le cas. Laisse nous te rassurer concernant quelques-unes d’entre elles.

Tu redoutes de tout quitter pour te retrouver seul, dans un pays étranger dont tu maîtrises à peine la langue, en ayant en plus des comptes à rendre à un institut ou à une université. Et c’est bien normal ! Mais aucun doute à avoir : si l’une de tes motivations à partir est de rencontrer de nouvelles personnes, t’ouvrir au monde et à d’autres cultures, tu peux être sûr que ton aventure ne se passera pas seul. Amis de tous horizons te rejoindront et tu pourras profiter d’un vrai réseau international.

Pour ce qui concerne la maîtrise de la langue, c’est un long chemin, épineux d’abord, mais qui s’éclaircit plus rapidement que tu ne le crois. Les trois premiers mois sont les plus difficiles et il te faudra faire preuve d’une grande force de travail. Après cela en revanche, tu pourras profiter pleinement de tes nouvelles compétences sans avoir l’impression de fournir beaucoup d’efforts.

De la persévérance, de la confiance en toi et de la préparation, voilà ce qu’il te faut !

*  Baudelaire, Charles, « Le gouffre », Les Fleurs du Mal [1857]. Un titre qui vient à point nommé n’est-ce pas ?

Le pourquoi du comment : pourquoi tu pars te dira aussi comment partir


Qui eût cru que de Baudelaire à la Petite Sirène, il n’y eut qu’un pas ? Les poètes se retournent dans leur tombe et MyOrientation continue sa mission coûte que coûte en t’expliquant comment faire pour te réorienter à l’étranger.

Soyons clairs, personne ne te demandera d’abandonner ta voie pour t’installer à l’étranger. Non, ce qu’il te faudra plutôt c’est en user et en user bien, pour être admis dans les écoles et universités étrangères. Que tu les rejoignes en cours de cursus ou pour entamer un nouveau diplôme, examens d’entrée ou au moins tests de langue sont des passages obligés. Pour les préparer, tu peux te renseigner auprès de ton université ou école pour savoir si elles préparent à ces tests. Si ce n’est pas le cas, tu peux te tourner vers les consulats ou instituts des pays que tu veux rejoindre : ils organisent des sessions de tests auxquelles tu pourras t’inscrire – à l’Institut Cervantes ou au Goethe Institut par exemple.

Les équivalences accordées d’un pays à un autre varient selon ton parcours, la formation que tu choisis et ton niveau. Ici, pas de secret, il faut t’y prendre à l’avance car il y a autant de situations que de profils. Ce à quoi tu peux prétendre en te réorientant dépend grandement de l’université ou école où tu choisis d’arriver. Les contacter directement est le plus sage, dès janvier si tu veux les rejoindre en septembre. Ils pourront t’expliquer ce qu’ils attendent de toi avec précision et tu auras ainsi le temps de t’y préparer. Ce premier contact t’éclairera aussi sur les options qui s’offrent à toi concernant le financement de ce départ à l’étranger. Si tu es sur le point de décrocher un diplôme en France ou s’il te reste encore un an pour le passer, il peut valoir la peine de persévérer encore un peu, certains parcours n’étant pas disponibles sans diplômes.

Courage matelot, l’air du large n’est pas si lointain et il te procurera toutes sortes de bienfaits ! Se préparer, se renseigner et y croire, telles sont les clés qui te permettront de changer de cap et mettre les voiles vers le nouveau monde !

Partir là-bas


Qui eût cru que de Baudelaire à la Petite Sirène, il n’y eut qu’un pas ? Les poètes se retournent dans leur tombe et MyOrientation continue sa mission coûte que coûte en t’expliquant comment faire pour te réorienter à l’étranger.

Soyons clairs, personne ne te demandera d’abandonner ta voix pour t’installer à l’étranger. Non, ce qu’il te faudra plutôt c’est en user et en user bien, pour être admis dans les écoles et universités étrangères. Que tu les rejoignes en cours de cursus ou pour entamer un nouveau diplôme, examens d’entrée ou au moins tests de langue sont des passages obligés. Pour les préparer, tu peux te renseigner auprès de ton université ou école pour savoir si elles préparent à ces tests. Si ce n’est pas le cas, tu peux te tourner vers les consulats ou instituts des pays que tu veux rejoindre : ils organisent des sessions de tests auxquelles tu pourras t’inscrire – à l’Institut Cervantes ou au Goethe Institut par exemple.

Les équivalences accordées d’un pays à un autre varient selon ton parcours, la formation que tu choisis et ton niveau. Ici, pas de secret, il faut t’y prendre à l’avance car il y a autant de situations que de profils. Ce à quoi tu peux prétendre en te réorientant dépend grandement de l’université ou école où tu choisis d’arriver. Les contacter directement est le plus sage, dès janvier si tu veux les rejoindre en septembre. Ils pourront t’expliquer ce qu’ils attendent de toi avec précision et tu auras ainsi le temps de t’y préparer. Ce premier contact t’éclairera aussi sur les options qui s’offrent à toi concernant le financement de ce départ à l’étranger. Si tu es sur le point de décrocher un diplôme en France ou s’il te reste encore un an pour le passer, il peut valoir la peine de persévérer encore un peu, certains parcours n’étant pas disponibles sans diplômes.

Courage matelot, l’air du large n’est pas si lointain et il te procurera toutes sortes de bienfaits ! Se préparer, se renseigner et y croire, telles sont les clés qui te permettront de changer de cap et mettre les voiles vers le nouveau monde !

Auteur :

Mathilde Charras

Présentation : Rédactrice engagée pour favoriser l'accès à la culture pour tous, mordue des arts vivants et de la scène européenne.

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